Des chercheurs de l’Institut Pasteur à Paris et de l’Institut Pasteur du Cambodge, avec des équipes de l’université de Columbia (USA), du CNRS à Toulouse et du NIH/NIAID (USA) démontrent qu’un gène qu’ils ont récemment identifié est le déterminant majeur de la résistance des parasites Plasmodium falciparum à l’artémisinine. Ces travaux revêtent une importance particulière pour la communauté scientifique, qui dispose maintenant d'un marqueur moléculaire validé de cette résistance, qui pose un problème majeur de santé publique. Ils sont publiés dans la revue Science.