"Le hasard ne favorise l’invention que pour des esprits préparés aux découvertes par de patientes études et de persévérants efforts."
La vie de Louis Pasteur
Louis Pasteur, chimiste de formation, sera à l’origine des plus formidables révolutions scientifiques du XIXème siècle, dans les domaines de la biologie, l’agriculture, la médecine ou encore l’hygiène. En commençant ses recherches sur la cristallographie, Pasteur s’engagera sur un chemin jalonné de découvertes qui le conduiront à la mise au point du vaccin contre la rage.
Emaillée de découvertes révolutionnaires, la vie de Louis Pasteur est aussi marquée par plusieurs drames qui ont sans doute contribué à motiver sa soif de comprendre les maladies de son époque. Infatigable et passionné, il n’a pas hésité à traverser la France pour aller au bout de ses théories ou pour résoudre les problèmes agricoles et industriels posés par les maladies infectieuses.
27 décembre : naissance de Louis Pasteur à Dole (Jura).
Sa famille s’installe à Arbois.
Il dessine son premier pastel à 13 ans.
Pasteur est élève au collège d’Arbois.
Départ de Louis Pasteur pour le collège royal de Besançon.
Reçu bachelier ès lettres à Besançon. Maître d’études au collège de Besançon.
Portrait de Didier Netzer (1821-1912), camarade de collège réalisé par Louis Pasteur.
Bachelier ès sciences mathématiques à Dijon.
Admis à l’École normale supérieure, au 4e rang.
Licencié ès sciences.
Nommé professeur de physique au lycée de Tournon (Ardèche) mais reste à l’École normale supérieure comme agrégé préparateur.
Rencontre Auguste Laurent dans les laboratoires de Balard.
Études des cristaux.
Docteur ès sciences.
Nommé professeur de physique au lycée de Dijon puis professeur suppléant de chimie à la faculté des sciences de Strasbourg.
Recherches sur le dimorphisme.
Communication historique sur le dédoublement du paratartrate de soude et d’ammoniaque.
Mariage de Louis Pasteur avec Mlle Marie Laurent, fille du recteur de l’université de Strasbourg.
Recherches sur les propriétés spécifiques des deux acides qui composent l’acide racémique.
Naissance de sa fille Jeanne (elle meurt en 1859).
Naissance de son fils Jean-Baptiste.
Mémoire de Louis Pasteur sur les acides aspartique et malique.
Nouvelles recherches sur les relations qui peuvent exister entre les formes cristallines, la composition chimique et le sens de la polarisation rotatoire.
Naissance de sa fille Cécile
(elle meurt en 1866).
Louis Pasteur est nommé chevalier de l’ordre impérial de la Légion d’honneur.
Il reçoit le prix de la Société de Pharmacie de Paris pour la synthèse de l’acide racémique.
Note sur la découverte de la transformation de l’acide tartrique en acide racémique.
Découverte de l’acide tartrique inactif.
Louis Pasteur est nommé doyen de la faculté des sciences à Lille.
Début des études sur la fermentation.
Présentation à Lille d’un mémoire sur l’alcool amylique.
Début des recherches sur la fermentation alcoolique.
Nommé administrateur de l’École normale supérieure et directeur des études scientifiques de cette école.
Mémoire sur la fermentation lactique.
Mémoire sur la fermentation alcoolique.
Naissance de sa fille Marie-Louise.
Installation de son laboratoire dans les combles de l’École normale supérieure à Paris, rue d’Ulm.
Début de ses recherches sur les générations dites "spontanées".
Prix de physiologie expérimentale de l’Académie des sciences pour ses travaux sur les fermentations.
Prélèvements d’air à Arbois pour l’étude du problème des générations dites "spontanées".
Examen de la doctrine des générations dites "spontanées".
Reçoit le prix Jecker de l’Académie des sciences pour ses recherches sur les fermentations. Publication dans le bulletin de la Société chimique de Paris de l’ensemble de ses résultats sur la question du vinaigre.
Élection à l’Académie des sciences (section minéralogie).
Études sur le rôle des mycodermes dans la fermentation acétique.
Reçoit le prix Alhumbert pour ses recherches sur la génération spontanée.
Naissance de sa fille Camille (elle meurt en 1865).
Napoléon III demande à Louis Pasteur d’étudier les maladies des vins.
Études sur les vins, de I’influence de l’oxygène de l’air sur la vinification.
Nommé professeur de géologie, physique et chimie appliquées, à l’École des Beaux-Arts.
Dépose un brevet pour l’invention d’un procédé de conservation et d’amélioration des vins par chauffage modéré à l’abri de l’air : la pasteurisation.
Études des maladies des vers à soie.
Publication d’Études sur le vin.
Publication d’un essai sur l’œuvre scientifique de Claude Bernard (Portrait de Claude Bernard).
Création d’un laboratoire de chimie physiologique à l’École normale supérieure.
Nommé professeur de chimie organique à la Sorbonne.
Reçoit le Grand Prix de l’Exposition universelle pour ses études sur le vin.
Démission de ses fonctions administratives à l’École normale supérieure.
Diplôme de docteur Honoris Causa de l’université de Bonn.
Est nommé commandeur de la Légion d’honneur.
Publication des études sur le vinaigre.
Pasteur est atteint d’une hémiplégie gauche.
Publication des études sur les maladies des vers à soie.
Recherches sur de nouveaux procédés de fabrication et de conservation de la bière.
Élu membre de l’Académie de médecine.
Publication de Etudes sur la bière.
Note sur l’altération de l’urine.
Études sur la maladie du charbon.
Études sur la septicémie.
Nommé grand officier de la Légion d’honneur.
Publication du mémoire La théorie des germes et ses applications à la médecine et à la chirurgie.
Met au point le vaccin contre le choléra des poules à l’aide d’un microbe atténué.
Recherches sur la gangrène, la septicémie et la fièvre puerpérale.
Note sur la peste.
Découverte de l’immunisation au moyen de cultures atténuées.
Mariage de sa fille Marie-Louise avec René Vallery-Radot (portrait).
Nommé membre de la Société centrale de médecine vétérinaire.
Communication sur les maladies virulentes (Louis Pasteur expose pour la première fois le principe des virus-vaccins).
Début des recherches sur la rage.
Nommé grand-croix de la Légion d’honneur.
Met au point le vaccin contre la maladie du charbon.
Travaux sur la fièvre jaune près de Bordeaux.
Élu membre de l’Académie française.
Note sur la péripneumonie contagieuse des bêtes à cornes.
Études du rouget des porcs.
Met au point avec Louis Thuillier (portrait) le vaccin contre le rouget du porc.
Nouvelles communications sur la rage.
Communication sur les microbes pathogènes et les virus-vaccins au Congrès de Copenhague.
Louis Pasteur expose le principe général des vaccinations contre les maladies virulentes.
Première vaccination antirabique chez l’homme.
Élu secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences.
Victime d’une seconde attaque d’hémiplégie.
Inauguration de l’Institut Pasteur, le 14 novembre.
Jubilé à la Sorbonne, le 27 décembre.
Mort de Louis Pasteur à Villeneuve-l’Étang, le 28 septembre. (Dernière photographie de Louis Pasteur, prise en 1895)
"Ayez le culte de l'esprit critique. Réduit à lui seul, il n'est ni éveilleur d'idée, ni un stimulant de grandes choses. Sans lui tout est caduc."
Ainsi, trois grandes périodes se dessinent dans l’œuvre du savant : la chimie et l’observation des cristaux le conduisent à l’étude des fermentations.
Celles-ci l’amènent à réfuter définitivement la théorie de la génération spontanée, une découverte-clé qui lui ouvrira les portes de la microbiologie et de la vaccination.
Première époque : 1847 - 1862
1847
En 1847, Louis Pasteur, jeune chimiste tout juste sorti de l’Ecole normale supérieure, cherche à comprendre pourquoi deux substances chimiques apparemment identiques ont un effet différent sur la lumière polarisée ?
Deuxième époque : 1862 - 1877
1865
Les travaux de Louis Pasteur lui ouvrent de nouvelles perspectives : d’où viennent les agents de la fermentation ? Naissent-ils de germes semblables à eux ou apparaissent-ils « spontanément » comme le suppose la théorie de la génération spontanée ?
Troisième époque : 1877 - 1887
1885
De 55 à 65 ans, Louis Pasteur va mettre la microbiologie au service de la médecine et de la chirurgie. Si les maladies sont dues à des micro-organismes, il faut les identifier et trouver le moyen de les contrer. La rage en sera le plus bel exemple.
1888
Si l’Institut Pasteur porte le nom de son illustre fondateur et doit beaucoup au génie scientifique de ce dernier, son histoire est faite de la vie et des découvertes de bien d’autres chercheurs. Autant d’hommes et de femmes, habités par l’esprit humaniste de Louis Pasteur, autant d’avancées scientifiques au service de la santé humaine.
L’Institut Pasteur est une fondation privée, à but non lucratif, reconnue d’utilité publique, telle que l’a voulu son fondateur, Louis Pasteur.
Fondé par décret du 4 juin 1887, l’Institut Pasteur est inauguré le 14 novembre 1888 grâce au succès d’une souscription internationale, pour permettre à Louis Pasteur d’étendre la vaccination contre la rage, de développer l’étude des maladies infectieuses et de transmettre les connaissances qui en étaient issues.
L’INSTITUT PASTEUR AU FIL DU TEMPS
Un an après l’inauguration de l’Institut Pasteur, Emile Roux ouvre le premier cours de microbiologie jamais dispensé dans le monde, intitulé "Cours de microbie technique". Des élèves de tous les pays d’Europe viennent suivre les enseignements théoriques et pratiques de cette nouvelle science.
Le premier Institut Pasteur à l’étranger est créé en 1891 à Saigon par Albert Calmette. Il a pour mission d’appliquer la vaccination contre la rage et la variole en Indochine.
Inauguration de l'Institut Pasteur de Tananarive (Madagascar).
Une mission permanente de l’Institut Pasteur à Paris, dirigée par les frères Sergent, organise la lutte contre le paludisme en Algérie. De la fusion du centre antirabique et de cette mission naît l’Institut Pasteur d’Algérie. En 1960 l’Institut Pasteur d’Algérie lance le programme de lutte contre la tuberculose.
Inauguration de l'Institut Pasteur de Tunis.
Seize patients russes sont traités contre la rage en avril 1886 par Louis Pasteur et rentrent guéris en Russie. Adrien Loir, neveu de Pasteur, part à Saint-Pétersbourg pour organiser le premier centre antirabique à l’étranger. Le centre antirabique Pasteur, associé à l’Institut Impérial de Médecine expérimentale devient en 1923, à l’occasion du centenaire de la naissance de Louis Pasteur, l’Institut Pasteur de Saint-Pétersbourg. Il sera intégré au Réseau International des Instituts Pasteur en 1993.
Jean Laigret met au point le vaccin contre la fièvre jaune à l’Institut Pasteur de Dakar. Georges Girard et Jean Robic mettent au point un vaccin pour enrayer la peste à l’Institut Pasteur de Madagascar.
A sa création, les principales contributions de l’Institut Pasteur de la Guyane Française reposent sur la mise au point de la thérapeutique de la lèpre, l’épidémiologie du paludisme et de la fièvre jaune.
En août 1946 l’Institut Pasteur de Nha Trang (Vietnam) crée une annexe vétérinaire à Phnom Penh (Cambodge) pour la production du vaccin contre la peste bovine. L’Institut Pasteur de Phnom Penh est créé en décembre 1953, il prend le nom d’Institut Pasteur du Cambodge en 1958 et s’oriente vers la biologie et la pathologie chez l'homme.
L’Institut Pasteur de Nouvelle-Calédonie est créé en 1954. Suite à une épidémie de dengue qui touche 40% de la population, une mission à Nouméa de l’Institut Pasteur permet l’identification du type viral et aboutit à la création d’une unité d’arbovirologie et d’entomologie en 1974.
L’Institut Pasteur de Bangui, inauguré en 1961, est un établissement reconnu d’utilité publique par le Gouvernement Centrafricain qui se consacre essentiellement à l’étude des virus transmis par arthropodes ou arbovirus.
L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire, inauguré le 27 juillet 1972, participe au développement des techniques de diagnostic rapide des arbovirus et entérovirus et à la surveillance des agents microbiens.
En 1989 les instituts formalisent leur appartenance à cette communauté pasteurienne, ainsi que les droits et devoirs qui en découlent, en adhérant à la Déclaration Générale de Coopération Scientifique. Signée par chaque directeur, c’est la naissance du Réseau International des Instituts Pasteurs. Depuis cette date, et malgré la fermeture de certains instituts (changements majeurs de politiques locales), le nombre d’instituts n’a cessé de croître.
Le Centre de Recherche Pasteur - Université de Hong Kong, né en 1999 et inauguré en 2000, se consacre à la recherche sur les virus qui représentent des problèmes en santé publique dans la région : maladies infectieuses émergentes et résurgentes en Chine (SRAS, grippe, Sida, dengue, hépatite C).
Le CERMES (Centre de Recherche Médicale et Sanitaire), qui rejoint le Réseau International en 2002 avec le nouveau statut d’institut associé, se consacre à la recherche sur les méningites bactériennes, le paludisme et le VIH/Sida.
A Bruxelles, un institut fondé en 1901 par Jules Bordet, rejoint le Réseau International. En 2008, cet institut est absorbé au sein de la Direction des maladies transmissibles et infectieuses de l’Institut Scientifique de Santé Publique (ISP), qui devient, dans son intégralité, membre correspondant du Réseau International des Instituts Pasteur.
L’Institut Pasteur de Montevideo en Uruguay, fruit d’une coopération tripartite entre les gouvernements français et uruguayen et l’Institut Pasteur, intègre le Réseau International en juin.
L’Institut Pasteur du Laos est inauguré en janvier 2012 à Vientiane. C’est le 32ème institut du Réseau International des Instituts Pasteur. Ce nouveau centre de recherche contre les maladies infectieuses et parasitaires a pour ambition de participer à la réduction des risques de pandémie en Asie du Sud-est, une région particulièrement touchée par ces fléaux.
Le Président de la République de Guinée, son Excellence Monsieur le Professeur Alpha Condé, a posé le 11 novembre à Conakry, la première pierre de l'Institut Pasteur de Guinée en présence de Monsieur Jean-Marc Ayrault, Ministre français des Affaires étrangères et du Développement international. Décidée en 2014 en réaction à la crise Ebola, la création de l’Institut Pasteur de Guinée émane de la volonté conjointe des Présidents des Républiques française et guinéenne de lutter durablement contre les épidémies émergentes. Cette volonté s’est concrétisée en septembre 2015 par la signature d’un protocole d’accord entre la République de Guinée et l’Institut Pasteur.
Ils étaient biologistes, médecins, vétérinaires, explorateur, physiciens ou chimistes, et leurs découvertes ont marqué la recherche du XIXème et du XXème siècle. A l’occasion des 130 ans de l’Institut Pasteur, découvrez ou redécouvrez les hommes et les femmes à l’origine de progrès médicaux fondamentaux en matière de maladies infectieuses.
1885
Mise au point du vaccin contre la rage par Louis Pasteur.
1889
Travaux sur l’inflammation et l’immunité par Elie Metchnikoff.
1894
Mise au point du traitement de la diphtérie par la sérothérapie, par Emile Roux, Louis Martin et Auguste Chaillou.
1894
Identification du bacille de la peste par Alexandre Yersin, Yersinia pestis.
1896
Élucidation de mécanismes de fonctionnement du système immunitaire notamment l’implication des anticorps et le mécanisme d’action du complément par Jules Bordet.
1898
Identification du rôle de la puce dans la transmission de la peste par Paul-Louis Simond.
1917
Découverte du bactériophage par Félix d’Hérelle. Le bactériophage est un virus ne se multipliant qu’à l’intérieur de bactéries.
1921
Mise au point du BCG, le vaccin contre la tuberculose, par Albert Calmette et Camille Guérin.
1932
Découverte des mécanismes d’action des facteurs de croissance par André Lwoff.
1932
Mise au point d’un vaccin contre la fièvre jaune par Jean Laigret.
1936
Découverte de l’action anti-infectieuse des sulfamides par Jacques et Thérèse Tréfouël, Federico Nitti.
1937
Découvertes sur les antihistaminiques et les curarisants de synthèse par Daniel Bovet.
1954
Mise au point d’un vaccin contre la poliomyélite par Pierre Lépine.
1960
Biosynthèse des protéines. Travaux sur les processus de régulation de la biosynthèse ou de l’activité des enzymes, sur les mécanismes de la biosynthèse des protéines par Jacques Monod et François Jacob.
1970
Isolement du premier récepteur à un neurotransmetteur, le récepteur de l’acétylcholine, par Jean-Pierre Changeux. L’acétylcholine est un messager chimique qui assure la transmission du signal nerveux entre cellules nerveuses dans le cerveau et entre cellule nerveuse et fibre musculaire.
1983
Découverte des virus du sida, VIH1 puis VIH2 par Luc Montagnier, Jean-Claude Chermann, Françoise Barré-Sinoussi.
1985
Mise au point du vaccin contre l’hépatite B par P. Tiollais. Le vaccin contre l’hépatite B est le premier vaccin humain obtenu par génie génétique à partir de cellules animales.
1991
Mise au point d’un test de détection rapide de la bactérie Helicobacter pylori par Agnès Labigne. La bactérie Helicobacter pylori est responsable d’ulcères et de cancers gastriques.
1995
Identification de gènes responsables de surdités par Christine Petit.
1996
Séquence complète du génome de la levure Saccharomyces cerevisiae par Bernard Dujon.
1997
Découverte d’un gène de la dépendance à la nicotine par Jean-Pierre Changeux.
1998
Première localisation chez l’homme d’un gène de prédisposition aux papillomavirus par Gérard Orth. Étude d’un lien éventuel avec le psoriasis.
2006
Identification de l'origine de l'épidémie de Chikungunya dans l'Océan indien à partir du séquençage des génomes de souches du virus.
2007
Explication du mécanisme par lequel le système immunitaire des "contrôleurs du VIH" séropositifs ne développant pas la maladie, réussit à maîtriser le virus du sida. Gianfranco Pancino et coll.
2008
Une nouvelle source de neurones est identifiée dans le cerveau adulte. Alonso et coll.
2010
Le lieu de naissance des cellules souches hématopoïétiques(à l'origine de toutes les cellules sanguines et immunitaires de l'organisme) est identifié par Karima Kissa & Philippe Herbomel. Elles se forment partir des cellules de la paroi de l’aorte de l’embryon.
2011
Les foetus développent spontanément, « par avance », un système de défense immunitaire. Sawa et coll.
2012
Les cellules souches du muscle survivent 17 jours post-mortem. Cette découverte laisse envisager une nouvelle source et surtout de nouveaux moyens de conservation des cellules souches à usage thérapeutique pour un certain nombre de pathologies.
2013
Sida : 14 patients adultes contrôlent leur infection VIH plus de sept ans après l’arrêt de leur traitement. Sáez-Cirión et coll.
2014
Identification d'une nouvelle variante du virus Ebola en Guinée.
2015
1er cas de rémission prolongée depuis 12 ans chez une enfant infectée par le VIH. Sáez-Cirión et coll.
2016
Publication de la première séquence génétique complète du virus Zika circulant en Amérique