La presbyacousie ou perte auditive liée à l’âge, implique des facteurs génétiques et environnementaux. Une analyse génomique peut repérer des variants dans des gènes dont la pathogénicité doit ensuite être démontrée. En règle générale, les variants fréquents ont des effets faibles voire très faibles et c’est leurs effets cumulés dans plusieurs gènes qui rend compte de l’atteinte ; à l'inverse les variants ultra-rares ont des effets forts et sont à l’origine des formes monogéniques : elles sont causées par une ou des mutation(s) présente(s) dans un seul gène.

A study, the most comprehensive assessment of vector competence, shows that Aedes aegypti mosquitoes from the Asia-Pacific region are capable of transmitting yellow fever virus. This indicates that vector populations are seemingly not a brake to the emergence of yellow fever in the region.

Une étude, l’évaluation la plus exhaustive faite à ce jour, montre que les moustiques Aedes aegypti de la région Asie-Pacifique sont capables de transmettre le virus de la fièvre jaune. Les populations de vecteurs (moustiques) ne sont donc pas un frein à l'émergence de la fièvre jaune dans la région.

«Pasteur Network Talent Award​s» 2020 were presented on Thursday 19 November 2020 to Dr Sophie Valkenburg and Dr Roman Thibeaux by Pr Pierre-Marie Girard, Institut Pasteur vice-president international Affairs and by Prof. Stewart Cole, President of The Institut Pasteur.

Due to the COVID-19 pandemic, these awards were presented by videoconference during the 52nd Council of Directors of the Institut Pasteur International Network from 17 to 19 November 2020.

Les prix « Pasteur Network Talent Awards » 2020 ont été remis jeudi 19 novembre 2020 au Dr Sophie Valkenburg et au Dr Roman Thibeaux par le Pr Pierre-Marie Girard, directeur international de l’Institut Pasteur et du Pr Stewart Cole, Directeur général de l’Institut Pasteur (Paris).

En raison de la pandémie COVID-19, la remise de ces prix s’est faite, par visioconférence, lors du 52^ème conseil des directeurs du Réseau International des Instituts Pasteur du 17 au 19 novembre 2020.

What factors facilitate the emergence of a previously unknown virus in the human population? Scientists from the CNRS, the Institut Pasteur and the IRD, in collaboration with the Institut Pasteur International Network and with several other institutions worldwide, have helped answer that question for the Zika virus. Their study sheds light on regional and continental disparities in Zika outbreaks and explains why there have been no major outbreaks in Africa.

Quels sont les facteurs qui peuvent faciliter l’émergence d’un virus jusque-là inconnu dans la population humaine ? Des chercheurs du CNRS, de l’Institut Pasteur et de l’IRD, en collaboration avec le Réseau International des Instituts Pasteur et de nombreuses autres institutions à travers le monde, ont apporté un élément de réponse concernant le virus Zika. Cette étude éclaire les disparités régionales et continentales des épidémies de Zika, expliquant notamment les raisons de l’absence d’épidémie majeure en Afrique.

Scientists from the Institut Pasteur have contributed to the discovery of a mechanism that regulates the response to pneumococcal infections between asymptomatic and severe forms. Pneumococci are bacteria that are naturally present in the human respiratory tract, but they are also one of the main causes of meningitis, pneumonia and acute otitis media. 

Des chercheurs de l’Institut Pasteur ont participé à la découverte d’un mécanisme qui régule la réponse aux infections à pneumocoque entre les formes asymptomatiques et les formes graves. Rappelons que le pneumocoque est une bactérie présente naturellement dans les voies respiratoires humaines, mais qu’elle est aussi l’une des causes majeures des méningites, pneumonies et otites aiguës.

Urinary tract infections (UTI) are a group of infectious diseases that predominantly impact healthy adult women, although they can also cause serious disease in men. They are the second most prevalent infection after respiratory infections*. The immune response to UTI is still not well-understood, and a better understanding could help lessen the use of antibiotics for this common infection.