Alors que la COP 28 a abouti à un texte appelant à la “transition hors des énergies fossiles” avec pour objectif de limiter le réchauffement climatique, elle a également été pour la première fois le théâtre d'une journée dédiée à la santé. La hausse des températures mondiales, les phénomènes météorologiques extrêmes et la modification des écosystèmes ne sont pas de simples préoccupations environnementales. Ce sont les catalyseurs d’une épidémie silencieuse qui affecte la santé humaine. Parmi les principales menaces, les maladies transmises par les insectes, historiquement étudiées à l’Institut Pasteur, ou le passage de virus de l’animal à l’être humain.