L'Institut Pasteur a, dans le cadre des procédures d'inventaire réglementaires habituelles, constaté la perte de tubes contenant des fragments du virus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), témoignant d'un défaut de traçabilité sur certains échantillons.
Après enquête interne approfondie, il a contacté l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) comme le prévoit la procédure.
L'ANSM a déclenché une enquête qui a donné lieu à des investigations sur place, dans le laboratoire concerné, du 8 avril à ce jour.