Des chercheurs ont évalué l’influence des contractions mécaniques de l’intestin sur l’invasion de deux agents pathogènes, l’un responsable de l’amibiase et l’autre de la shigellose. Pour y parvenir, les travaux s’appuient sur l’imagerie computationnelle 3D et la technologie organ-on-chip. Grâce à cette technologie, les chercheurs ont reproduit fidèlement les caractéristiques physiologiques de l’intestin sur une puce pas plus grande que quelques centimètres.