Since the beginning of the COVID-19 pandemic, words that just a year ago would have been the preserve of scientists have entered everyday language. One example is PCR, used for diagnostic tests. Another term that was once unfamiliar and is now on everyone's lips is messenger RNA, the miraculous molecule that has led to vaccines being administered to the general population less than a year after the start of the pandemic – bearing in mind that it previously took around a decade to develop a vaccine for a new disease. What exactly is this messenger RNA?

L’analyse des images biologiques par des méthodes mathématiques, d’intelligence artificielle et de vision par ordinateur est devenue un outil indispensable à la recherche en biologie et sert comme un vecteur puissant de découvertes. Des chercheurs de l’unité «Analyse d’Images Biologiques» viennent de publier, dans Patterns (Cell Press)¹, les résultats d’une recherche multidisciplinaire enrichie de l’analyse quantitative d’images aidant à la compréhension de la motilité cellulaire.

Membrane vesicles (also known as extracellular vesicles) are produced by all kinds of organisms. They are small lipid bags that come off a donor cell and get internalized by a recipient cell. Their role is to carry biological information and they are described as key intercellular communication players. However, their role in the microbial world is still very much unknown. Researchers from the Institut Pasteur and Arizona State University examined Membrane Vesicle movements in bacterial populations.  

Les vésicules membranaires (également appelées vésicules extracellulaires) sont produites par toutes sortes d’organismes. Ce sont de petits sacs lipidiques qui s’échappent d’une cellule donneuse et sont internalisés par une cellule receveuse. Les vésicules servent au transport d’informations biologiques et sont décrites comme des acteurs clés de la communication intercellulaire. Leur rôle dans le monde des microbes reste cependant méconnu.

According to the WHO recommendations, a multi-centre surveillance study has been implemented among healthcare workers in five African countries: Burkina Faso, Cameroon, Niger, Central African Republic and Madagascar. Coordinated by Institut Pasteur, this cohort study aims to identify the contamination risk factors and better understand the transmission/spread of the virus. The revue “International Journal of Infectious Diseases” published the first observations and recommendations.

En suivant les recommandations de l’OMS, une étude de surveillance multicentrique auprès des personnels de santé a été mise en place dans cinq pays africains : Burkina Faso, Cameroun, Niger, République centrafricaine et Madagascar. Coordonnée par l’Institut Pasteur, cette étude de cohorte a pour objectifs d’identifier les facteurs de risque d’infection et d’améliorer les connaissances épidémiologiques de transmission/diffusion du virus. Les premières observations et recommandations sont présentées dans la revue International Journal of Infectious Diseases.

PCR tests are currently the gold standard for detecting SARS-CoV-2. These tests are reliable, but their complexity makes them difficult to use for point-of-care testing (POCT), in other words testing outside the laboratory. Scientists from the Institut Pasteur and ESPCI Paris-PSL have developed COVIDISC, a new portable device for this purpose.  

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, on voit apparaître dans le langage courant des termes qui, il y a un an, étaient réservés au monde scientifique. PCR par exemple, utilisé pour les tests diagnostic. Un autre terme jadis inconnu du public est aujourd’hui sur toutes les lèvres : ARN messager. Ce composant miracle grâce auquel des vaccins peuvent-être administrés à la population moins d’un an après le début de la pandémie, alors que, jusqu’à présent, les délais connus pour obtenir un vaccin contre une nouvelle maladie étaient plutôt de dix ans.

Le cancer est la première cause de mortalité en France. Ces 40 dernières années, le taux de survie de plusieurs types de cancer, comme ceux du sein ou de la prostate, a augmenté. Le cancer du cerveau demeure, lui, incurable, car il entraîne généralement une résistance aux traitements et une rechute dans un délai relativement court. Dans la plupart des cas, il a pour pronostic le décès inéluctable du patient.

L’épidémie de Covid-19 a fortement impacté la vie de la population mondiale. La maladie, la distanciation sociale et les mesures de confinement ont eu de multiples effets sur notre santé, notamment sur notre microbiome, les répercussions sur celui-ci étant peu étudiées.