La peste à Madagascar

Et si la peste n’avait jamais disparu ?

Antoine Brault, chercheur à l’Institut Pasteur, explique comment son équipe suit les rats et les puces à Madagascar pour comprendre comment les épidémies de peste réapparaissent encore aujourd’hui.

Grâce à un supercalculateur, ils ont montré qu’à partir de septembre, le nombre de puces explose, augmentant le risque d’épidémie — même quand la population de rats diminue.


Leur conclusion : pour limiter les risques, il faut agir en même temps sur les rats ET sur les puces.

C’est toute la force de l’approche One Health : relier santé humaine, animale et environnementale pour mieux prévenir les épidémies.


Une recherche essentielle pour comprendre et anticiper les maladies infectieuses.